J'y vais doucement. Ma première histoire sur ce forum. Ça va changer du RP.
Voici donc mon histoire. Chaque fois que je vais la continuer, je vais reposter et non éditer. Pour ceux qui connaisse, c'est un peu une adaptation de "Séraphin". Faites vos commentaires. :
--------------------
Le soleil se levait, valsant sur le flanc de la montagne et il était l’heure de fêter. Une journée parfaite pour un festival joyeux ; danse et petites boissons offertes gratuitement par les marchands, poches remplis de leurs pièces d’or. Sur la route, le vent soulevait les jolis cheveux d’or de Shadel qui miroitaient sous les rayons du soleil. La caravane avançait à bonne allure pour arriver à St-Constant. Souriante, à son habitude, elle discutait avec de bonnes copines toutes issues de familles agriculteurs. Ils vivaient tout en cultivant les terres affaiblir des durs hiver. Les dames parlaient de l’automne à venir et des enfants que chacune désiraient avoir dans les années futures.
-Je m’arrêterai à cinq, répondit Shadel d’une voix doucereuse. Mais faut-il encore que je trouve le vrai amour.
Ils discutèrent un bon quart d’heure lorsque la caravane figea définitivement. Une ambiance de joie régnait sur place. Les gens dansaient et chantaient sous le son de la musique. De l’endroit où elle se trouvait, elle aperçu les yeux grisonnants de son amour, Alessi. Elle ne le connaissait pas, du moins à peine. Un bon ami de jeunesse dont elle perdit ses traces adolescente. Il lui avait lancé un regard charmeur puis continuait à faire valser tous les dame de la compagnie. Puis à sa gauche, son père discutant avec le maire. Le seul homme riche du conté et célibataire. La gente féminine l’évitait comme la peste.
_________________
<font size=-1>[ Ce Message a été édité par: Nita le 2004-03-10 03:34 ]</font>
"Le rancunier "
Cet homme se prénommait Donald. Il était assez âgé, le double de Shadel à en juger par ses rides et ses cheveux décolorés. L’air un peu violant, il habitait seul loin du village et des regards. Ce fut d’ailleurs la première fois qu’il s’intéressait aux activités sociales de sa communauté. Il n’avait aucune patience envers les autres mais aidait les plus démunis et endettés du village. C’était d’ailleurs le sujet de discussion qu’il entretenait avec le père de Shadel.
La jeune dame s’éloigna de son groupe d’ami pour s’approcher de son «Alessi». Elle voulait être la prochaine à se trémousser à ses coté. Au moment où elle s’en attendait le moins, les mains irritées et sèches du jeune homme saisirent celle de Shadel. Elle plongea son regard dans celui du jeune homme, s’éloignant de plus en plus de la piste où il y avait rassemblement.
Alessi l’amenait loin –très loin- .
- Tu te souviens de cet endroit ? Tu te souviens ? , dit-il avec un sourire s’affichant jusqu’aux oreilles. C’est ici qu’on s’est rencontré la première fois, puis la seconde et lorsque tu devais te confier.
-En effet, puis je ne peux pas oublier ! Vaguement, tu me trouvais très petite à cette époque. Tu sais ce que je t’ai dis ? demanda Shadel en contemplant le regard interrogateur que lui lançait le jeune homme. Un jour je te dépasserais .
Elle s’approcha d’Alessi, les paupières closes. Le jeune homme lui donnant une léger baiser sur le front en sueur de la belle.
La jeune dame s’éloigna de son groupe d’ami pour s’approcher de son «Alessi». Elle voulait être la prochaine à se trémousser à ses coté. Au moment où elle s’en attendait le moins, les mains irritées et sèches du jeune homme saisirent celle de Shadel. Elle plongea son regard dans celui du jeune homme, s’éloignant de plus en plus de la piste où il y avait rassemblement.
Alessi l’amenait loin –très loin- .
- Tu te souviens de cet endroit ? Tu te souviens ? , dit-il avec un sourire s’affichant jusqu’aux oreilles. C’est ici qu’on s’est rencontré la première fois, puis la seconde et lorsque tu devais te confier.
-En effet, puis je ne peux pas oublier ! Vaguement, tu me trouvais très petite à cette époque. Tu sais ce que je t’ai dis ? demanda Shadel en contemplant le regard interrogateur que lui lançait le jeune homme. Un jour je te dépasserais .
Elle s’approcha d’Alessi, les paupières closes. Le jeune homme lui donnant une léger baiser sur le front en sueur de la belle.
- Viens par là, déclara Alessi en agrippant à nouveau la main tremblante de Shadel et la traînant quelque mètre plus loin, là où la vue était meilleure. Il désigna de l’index les beautés que leur offrait la fin de l’été.
Il commençait à ce faire tard et Shadel devrait bientôt retourner à la maison pour préparer le repas. Elle salua le jeune homme qui lui répondit par une caresse sur la joue et un doux baiser.
La jeune femme gambadait sur le chemin du retour, visionnant de nouveau son « Alessi » tout en saluant les piétons qu’elle rencontrait. Arrivée à la porte du magasin familial de son paternel, elle franchit le pas toujours souriante et émue. Sa cousine Ariette lui fit un clin d’œil coopérant pendant qu’elle s’approchait du comptoir pour offrir ses salutations aux clients et à son père. La soirée parut longue et ennuyante et Shadel ne trouvait pas le calme reposante pour s’endormir.
Les heures défilaient et de plus en plus les routes parurent vides. On distinguait clairement les chiens et les bêtes hurler dans la pénombre. Mais enfin, au bout d’un moment, elle ferma les yeux pour faire place à la tendre Morphée. Comme sous l’instant de quelques minutes, Shadel rouvrir les yeux, éblouit par la lumière qui l’aveuglait.
Il commençait à ce faire tard et Shadel devrait bientôt retourner à la maison pour préparer le repas. Elle salua le jeune homme qui lui répondit par une caresse sur la joue et un doux baiser.
La jeune femme gambadait sur le chemin du retour, visionnant de nouveau son « Alessi » tout en saluant les piétons qu’elle rencontrait. Arrivée à la porte du magasin familial de son paternel, elle franchit le pas toujours souriante et émue. Sa cousine Ariette lui fit un clin d’œil coopérant pendant qu’elle s’approchait du comptoir pour offrir ses salutations aux clients et à son père. La soirée parut longue et ennuyante et Shadel ne trouvait pas le calme reposante pour s’endormir.
Les heures défilaient et de plus en plus les routes parurent vides. On distinguait clairement les chiens et les bêtes hurler dans la pénombre. Mais enfin, au bout d’un moment, elle ferma les yeux pour faire place à la tendre Morphée. Comme sous l’instant de quelques minutes, Shadel rouvrir les yeux, éblouit par la lumière qui l’aveuglait.