Dans WorldEd, chargez votre village et allez au-dessus de la bibliothèque. Mettons-y quelques présentoirs à livres. Pour en mettre un, avant tout, vous devez mettre un « empty barrel » avec le bouton « Container ». Puis éditez le tonneau. Changez l’image à « unknown » (cliquez sur l’image et sélectionnez un carré vide), puis changez encore le dessin, mais cette fois, choisissez « container » de la liste déroulante « list » et choisissez « bookstand » de la seconde liste « sublist ». Choisissez le présentoir vous convenant. Mettez-en quelques-uns (control-cliquez sur vos présentoirs pour en faire des copies). Tant que vous y êtes, mettez des tables, chaises, etc, et mettez peut-être un comptoir (c’est une bibliothèque). Au passage, mettez un peu de lumière.
Nous voulons créer des livres pour ces présentoirs. Sélectionnez donc l’onglet « items », cliquez sur le bouton « W », du menu déroulant choisissez « Book » et cliquez sur « edit ». Choisissez « BookRed » en tant qu’image et cliquez sur le sol de la bibliothèque pour en créer un. Cliquez sur « edit » encore une fois, et sélectionnez « BookGreen », et mettez-en un. Mettez un « BookBlue » aussi. Normalement, ils devraient être les mêmes sur le sol, mais ils changent lorsque le joueur les prend dans son inventaire. Ok, nous devons maintenant créer du contenu pour le livre, pour ce faire, ouvrez le fichier « gamebook.mes » dans le répertoire « Arcanum\modules\NOM DU MOD\mes\ ». Vous devriez voir cette information importante :
// This message file contains text to be used in game-supplied books.
// Only the message line numbers 1000 or higher are valid.
// Format: each line begins with a font number and justification letter,
// followed by the text for that line. Each line becomes a paragraph in
// the book.
// Some font numbers to use:
// 37 Book Type
// 497 Script
// 171 Old English
// 28 Mage Type
// Justification letters (you must use one)
// l = left
// c = center
Ce sont les polices et justifications que vous pouvez utiliser lorsque vous écrivez des livres. Je pense que la seule manière avec laquelle vous saurez vraiment comment ça marche est d’écrire un livre, alors, écrivons-le ! Le problème principal lorsque vous écrivez des livres est de savoir quoi écrire. Pour ce tutoriel j’ai créé une petite histoire qui fera une quête pour plus tard, alors mettons-la.
Le livre que nous allons écrire sera en police Mage. Nous allons commencer à la ligne 1000. Dans notre cas, celle-ci devrait en fait avoir quelques infos dedans, alors remplaçons-les par les nôtres comme ceci :
{1000}{28c The Story of Amtut}
La ligne au-dessus sera écrite en police « Mage » (police numéro 28) et sera centrée (cela est déterminé par le « c »). Mais en fait nous voulons que cette ligne soit à peu près au milieu de la page de gauche, donc mettez le curseur juste après le « c », et tapez « entrée » six fois de telle sorte que vous ayez une « ligne » comme cela :
{1000}{28c
The Story of Amtut}
Dans Arcanum, chaque Entrée sera affichée dans le livre, donc nos lignes seront espacées juste comme nous le voulons. Mettez maintenant le curseur avant la dernière accolade « } », et tapez « Entrée » deux fois. Ajoutez la ligne « Written by Dark Underlord », de telle sorte que votre ligne 1000 devrait ressembler à ceci :
{1000}{28c
The Story of Amtut
Written by DarkUnderlord}
Il y a environ 16 lignes par page dans Arcanum (cela varie selon la police que vous choisissez). Notre en-tête et nom d’auteur devraient ainsi être au milieu de la première page du livre. Nous devons aussi ajouter l’histoire dans le livre. Nous voulons que le texte soit justifié à gauche, vous devriez donc avoir une ligne 1001 comme ça :
{1001}{28l Ceci est notre nouvelle ligne}
Remarquez que nous utilisons la même police, et que le texte est maintenant justifié à gauche. Voyons comment cela apparaît dans le jeu. Sauvez le fichier « gamebook.mes ». Retournez à WorldEd, éditez un des livres sur le sol. N’importe quel livre fera l’affaire. En bas de la boite de dialogue qui devrait apparaître, il y a deux champ de texte, « Start Line » et « End line », comme sur la figure ci-dessous.
Mettez le numéro « 1000 » dans le champ « Start Line », et ignorez le champ « End Line ». Ceci étant parce que « End Line » n’est plus utilisé (apparament il l’a été), il n’est donc pas nécessaire de mettre un nombre ici. Dans « gamebook.mes », la ligne « 1000 » est le début de notre livre, et Arcanum mettra tout le texte de la ligne 1000 à la ligne 1009 dans le livre par défaut (c’est pourquoi tous les livres DOIVENT commencer par des multiples de 10). Sauvez, chargez Arcanum. Allez dans la bibliothèque, prenez le livre que vous avez modifié et utilisez-le. Vous devriez voir quelque chose comme ci-dessous :
Quittez Arcanum, et retournez modifier le fichier « Gamebook.mes ». Nous voulons que notre nouvelle ligne soit sur la page suivante. Pour faire cela, mettez le curseur juste après le « 28l » et tapez « Entrée » 9 fois. Remplacez maintenant le texte « Ceci est notre nouvelle ligne » par l’histoire suivante (copiez-collez le, pas la peine de tout retaper…) :
NDT : Je ne traduirais pas l’histoire suivante, ça serait trop long. Ça raconte une histoire de roi qui voulait vivre éternellement, et qui a été transformé en momie (en gros).
Many ancient legends have referred to Amtut, but up till now, all of them have been disregarded as no more than mere fairy tales. My studies have led me to believe otherwise.
I first came across the legend of Amtut as a mere child. Small and with eyes filled with wonder, I found an old book in the local library in Tarant. Blowing the dust off of its old leather cover I found the words ‘Amtut’ inscribed on the front. The beautiful gold engraved lettering glinted in the warm morning sun as I read the word aloud: Amtut. Curious as to its contents, I opened the cover and turned the first page. Inside I found the story of ‘Amtut’, a fair and wise ruler who lived in a time long before the dawn of machines. According to the story, whenever a decision had to be made, Amtut always based his judgements on sound reasoning and all the available facts.
Turning the pages eagerly I soon read that as Amtut grew old, his judgement began to fail him. He became irrational, irritable and often made quick, harsh and unjust decisions. Soon, Amtuts’ own demise became apparent to him and he began to seek a way to turn back the clock of time and become the young and fair ruler that he once had been. Apparently, several adventurers were sent out on long journeys with the promise that if they discovered some way of reversing his age, they would be given their own lands to rule over. This promise of land inspired many young men to leave their family’s and the hard work of farm life, in order to seek out what many deemed impossible.
However, after many years, few of the young men returned. Those that did either died from their long and hard journey or were executed for their failure. Soon, Amtut lay dieing in his chambers, cursing himself and all those around him, when suddenly, the great doors of his chamber opened and a man wearing a long, dark cloak walked into the room.
Startled at first, the servants attending the sick ruler looked up and wondered who this man was and more importantly, how he had gotten past the guards. Amtut looked at the man with his deathly, sunken eyes and asked,
“What do you want? Are you death himself, coming to take me away from this cursed place?”“No.” replied the stranger, “Far from it your magnificence. I have come from a land far across the plains seeking one who wishes to hold onto life.”
“I am the man you seek.” Replied Amtut. “I wish to hold onto life, but not…. Not as this withered wreck. I wish to be the young man I once was, a fair and wise ruler of my people.”
“That can not be done. However…” the stranger looked at the dieing ruler and thought, “I can make your life extend for far longer than was granted by the gods.”
The dieing ruler looked at the stranger, “Continue, please.” He said.
“There is a process by which the life of a human can be extended. It is an ancient one, known only to a select few. I, am one of those select few. If you are interested, it involves the removal of your organs and the mumification of your body once you die. Then, a full moon cycle after your death, a ritual is performed which will raise you from the dead and allow you to walk amongst the living again.”
Amtut looked at the stranger. Everyone in the room could see that he was deep in thought. “I will do it. But, what is the catch?”
“The catch? Ahh yes… What do you give me in return for my services? Well… I understand this kingdom is very wealthy and has many different gems and jewels from all over the land. In return for my services, I merely request that you give me a heartstone.”
Although he was weak and dieing, Amtut was able to sit up abrubtly in his bed. “A heartstone? In return for another chance at life you only want a heartstone? Why, you can have one hundred heartstones if you so desire!”
“That will not be necessary, I will only need one. Do we have an agreement then?”
Amtut looked at his servants. He then looked around at his chamber before responding, “Yes. We have a deal.”
And so it was done. After his death, Amtut’s organs were removed and his body was mumified. Then, one full moon cycle later, the stranger returned and performed the ancient ritual. The sarcophagus in which Amtut rested stirred. Soon, the heavy stone lid started moving and eventually fell onto the ground with a deafening crash. The wrappings that covered Amtut moved and he sat upright, looking out from underneath his wrappings at the stranger.
“You have returned! Thankyou! Thankyou! Now, when can I remove these wrapping?” asked Amtut.
“Never.” Replied the stranger. “That is the curse of resurrection. You shall forever be forced to walk the earth covered as a mummy. If you ever remove the wrappings, your body shall wither and die, and your soul shall be trapped forever within your rotting remains. The same shall happen if you are killed. However, if you are killed by someone in possession of a heartstone, your soul shall be released.”
“What!?” spat out Amtut. “You never mentioned any of this! You told me that I would be able to walk the earth amongst the living!”
“Yes, and you shall. However, I would not recommend it, as the living have a tendency to fear the walking undead.” And with that, the stranger muttered an incantation and was gone. Vanishing into the air as if he was never there.
And so, Amtut was left to wander the earth, constantly fearing the living in case he was caught and killed by some young, brave adventurer who would more than likely not have a heartstone and so would leave his soul trapped in his dead and decaying body. As such, Amtut fled into the deepest caves within the mountains where only rats and other unworldly creatures would be his companions.
That is the story that I read in the warm sunlight that morning, and I would’ve forgotten it, if not for a strange incident that occurred one day while I was on one of my many journeys. A small village had complained about something strange happening to their sheep. Apparently, every night, the sheep would bleat constantly as if they were spooked by something. The farmers initially thought it was a local boy called ‘Tim’. Tim was a prankster and used to play all sorts of jokes on the farmers by doing strange things to their sheep. That was until one night when one of the farmers decided to stay awake and see what was happening.
Armed with a heavy axe, the farmer waited all night and was about to fall asleep, when suddenly he saw something in the distance as the moon poked out from beneath a cloud. The farmer, thinking it was Tim, decided to lay and wait for him to come closer. So, hatching a plan to scare the living daylights out of what he thought was a local boy, the farmer waited in the dark. Not long later, he could hear a strange noise as something made its’ way across the field. When the noise got very close, the farmer jumped out of the dark ditch in which he was hiding and yelled as loudly as he could in an attempt to startle the boy. Only what he found was not a boy. The farmer, after jumping out of the ditch, found himself staring face to face with a horrid vision. Looking into its eyes, the farmer could see fear as the creature looked at his axe. The farmer, expecting to be attacked, raised the axe high above his head and took a swing at the creature. He only grazed it as it fled across the hills and back towards the mountains. The next morning, as the farmer was showing everyone where he attacked the creature, he found a small piece of very old cloth that had yellowed with age.
That story was told to me by another farmer at the local inn, as I was travelling through town not more than a month later. So, being the eager adventurer I was (and still am) I headed off into the mountains in search of what I believed to be a mummy. After several days journey, I found a deep cave within the mountains and headed inside. After battling my way through several of the usual creatures, I realised that the cave was quite deeper than I had anticipated and that if I was going to get to the bottom of it, I was going to need many more supplies. I made the decision to turn around and head back to town.
Before I left however, I noticed the strangest thing. I felt as if I was being watched. I am not entirely sure whether I was merely imagining it, or if it was just something in the air. My perceptive skills were not quite fully developed at that stage and as such I dismissed the feeling as irrational. Of course I was being watched, I said to myself. Every creature in that cave would know I was there from all the noise I made. However, that does not explain the piece of yellowed cloth that I found on my way out of the cave. I am certain that the cloth was not there on the way in and I vowed that I would resupply in town quickly and come straight back.
Unfortunately, back in town, I receieved a telegram. One of my old professors needed me urgently to help battle a viscous dragon that was devouring entire towns. I cursed myself as I noticed the telegram had been sent only a day after I left on my mountain journey and was now more than two weeks old. I hurriedly packed my things and left.
Since that day, I have never had the chance to return to that village. I seem to have been caught up in local politics and it is difficult for me to leave on adventures while there is so much to do for my constituents. That is why I write this story, for I hope that some day, someone will read this book and return to those caves in search of what I could not find.
DarkUnderlord
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Moo… Moo… I’m an Interplay cow.
Wahou ! C’est une longue histoire ! Pas trop mal pensée, puisque je l’avais en tête depuis que j’ai raccourci « Arcanum Mod-Making Tutorial » en Amtut. Cette histoire, je l’ai ressassée dans ma tête de nombreuses fois.
Maintenant que vous l’avez copiée, sauvez « Gamebook.mes » et chargez Arcanum. Lisez le livre, et vous devriez voir que le livre a été coupé au moment où les serviteurs se demandent comment le mec est entré. Pourquoi cela est-il arrivé ? Dans « Gamebook.mes », une « ligne » de texte ne peut contenir que 1985 caractères. Dans ce cas, cela fait à peu près 364 mots (hem, selon le compteur de mots de Word). Ne désespérez pas, nous POUVONS mettre notre histoire en entier. Nous devons juste la diviser en plusieurs lignes. Fermez donc Arcanum, et dans « Gamebook.mes », trouvez la partie coupée et faites cela :
[...] dark cloak walked into the room.
}
{1002}{28l Startled at first, the servants [...]
Cela divisera notre texte en un autre ligne. Puisque vous n’avez changé que « Gamebook.mes » et ajouté une nouvelle ligne, pas besoin de charger WorldEd pour modifier le livre. Donc, chargez Arcanum, et regardez le livre. Ca devrait couper ailleurs maintenant. Retournez voir « Gamebook.mes » et refaites une ligne. Continuez ainsi jusqu’à ce que tout soit rentré (Oh allez ! C’est pas si dur ! Si ? Après tout, c’est une bonne histoire et elle le vaut !)
NOTE : Un livre ne peut être fait que de 10 lignes maximum dans « gamebook.mes ». Vous devriez avoir assez de place pour mon histoire, mais si vous avez un texte absolument monstrueux (au-delà de 19000 caractères, à peu près 4000 mots), vous devrez couper votre histoire en plusieurs livres. Cela peut arriver si, comme moi, vous écrivez énormément quand vous le faites. Si vos livres sont assez grands cependant, vous ne remplirez probablement jamais un livre (juste pour info, le livre que vous avez fait a 9522 caractères et 1774 mots).
Vous devriez avoir trouvé que mon histoire, en entier, tient jusqu’à la ligne 1005 plus la 1006 pour ma signature à la fin. Maintenant, il y a certainement deux choses que vous avez notées lorsque vous avez testé le mod. D’abord, les présentoirs sont appelés « Tonneau », et le livre qui contient l’histoire d’Amtut s’appelle « Livre ». Nous devons appeler ces choses par leurs noms. Vous appelez les items exactement de la même manière que la plupart des choses (sauf les clefs). Ouvrez donc « Gamedesc.mes » dans le répertoire « Arcanum\Modules\NOM DU MOD\mes\ » et ajoutez « {30003}{Présentoir} » juste sous « {30002}{Echelle} ». Maintenant, allez à la fin du fichier et ajoutez une nouvelle section comme cela:
// Books, Notes and Telegrams
{30800}{The Story of Amtut}
Tous les livres, notes etc que vous écrirez auront des noms sous cette section. Sauvez maintenant le fichier. Bien sûr, vous devrez fermer WorldEd (sauvez votre carte avant !), et le ré-ouvrir pour que les changements soient pris en compte (ou vous pouvez simplement recharger le mod). Une fois votre carte rechargée, éditez tous les présentoirs et dans la liste « known », choisissez « Présentoir ». Éditez à présent le livre contenant l’histoire d’Amtut, et de la liste « Known’, choisissez « The Story Of Amtut ». Faites de même avec la liste « Unknown ». Sauvez votre carte et chargez Arcanum. Lorsque vous prenez le livre, vous devriez noter qu’il a un nom. Vous présentoirs devraient aussi d’appeler comme tels.
Ok, tout cela a marché (enfin, en principe), donc quittez Arcanum. Mettons maintenant une note. Dans l’onglet « Items », cliquez sur le bouton « W » et dans la liste déroulante, choisissez Note. Cliquez maintenant « Select », puis « Ok » (cette étape est importante, sinon vous allez mettre une note sans image). L’image devrait maintenant ressembler à une note. Mettez-en une sur le sol de la bibliothèque. Ouvrez maintenant le fichier « Gamenote.mes » dans le répertoire « \mes\ ». Changez la ligne « {1010}{}Next Note » comme suit :
{1010}{Tutoriel Amtut
Créé par DarkUnderlord
Version 1.0
Version faite par VOTRE NOM.}
Les notes sont en police « script » par défaut (je ne pense pas que vous puissiez le changer). Les notes sont des pages uniques, vous avez donc une place limitée pour les écrire. Sauvez le fichier et ouvrez « gamedesc.mes ». Ajoutez la ligne suivante :
{30801}{Amtut - Version 1.0}
Sauvez aussi ce fichier. Maintenant, fermez WorldEd et ré-ouvrez le. Scrollez ensuite jusqu’à la bibliothèque et éditez la note. Changez la « Start Line » en « 1010 » et Changez les champs « Known » et « Unknown » en « Amtut – Version 1.0 ». Cliquez Ok, et sauvez votre carte. Avant de la tester, mettez un bibliothécaire dans votre bibliothèque. N’importe quel PNJ fera l’affaire. Placez-le/la et habillez-le/la (souvenez-vous que pour habiller un PNJ les items doivent être sur le sol AVANT, puis, en utilisant l’outil « select », vous pouvez les déplacer au-dessus des PNJ, maintenir la touche Shift appuyée et relâcher). Mettez-lui des « standpoint » de jour et de nuit de telle sorte qu’il dorme la nuit (vous avez mis une chambre dans la librairie, non ?). Éditez à présent le PNJ. Mettez-le au niveau 14 et modifiez les caractéristiques que vous pensez devoir modifier. Sauvez votre carte et chargez Arcanum. Prenez la note. Je met toujours une note de version comme celle-ci dans tous les modules que je fais (je la cache habituellement dans un coffre ou un tonneau près du point de départ. Ainsi, le joueur sait qui a fait le module. Je met en général la date à laquelle j’ai commencé le module, et la date à laquelle je l’ai fini (et mon adresse mail et de site web).
Bien, c’est tout pour les livres. Vous voudrez probablement créer un peu de texte pour les autres livres sur le sol. Le prochain livre que vous écrirez devra commencer à la ligne « {1010} ». Tous les livres commencent par des multiples de 10 (donc le livre suivant commencera à 1020 etc… que vous ayez utilisé toutes les lignes du livre ou non. Ensuite, placez les livres dans les présentoirs de votre bibliothèque (vous vous souvenez de comment remplir les conteneurs ? Outil Select, déplacez les livres sur le présentoir, maintenez Shift et relâchez le bouton de la souris).