Traductions approximatives des informations présentes sur le site officiel
Comme les autres enfants qui ont grandi dans cette grande cité qu’est Tarant, je grandis immergé aussi bien dans les chansons que les histoires des bêtes horrifiantes qui prolifèraient dans Arcanum juste quand je devenais conscient du monde m’entourant. Souvent j’allais voir la Société Zoologique avec ma mère, où je passais des heures à regarder les spécimens fascinants, ou simplement regarder avec respect l’énorme crâne noir de Bellerogrim, le dernier des Grands Dragons, qui, à ce jour, reste la pièce principale de leur collection. A l’occasion, mon père emmenait la famille à Caladon, où notre visite annuelle au zoo était toujours le point culminant de mon voyage, car il était certain que j’y verrais des objets et expositions exotiques. Je peux me souvenir d’une petite Wyverne Verise qui me captiva lors d’une sortie particulièrement mémorable. C’était un plaisir de découvrir cela, et quand je devins un homme, les traditions de mon enfance étaient entrées dans mon sang, continuant de couler dans mon coeur et mon esprit. Et qui n’a pas eu cette expérience ? Ce que nous entendons et voyons enfant tendent à rester en permanence dans le subconscient, et les histoires et contes que nous avons entendus tant de fois des lèvres de nos parents ont souvent leur place dans nos rêves.
C’est une conclusion indéniable à mon sens que les expériences de mon enfance ont pavé le chemin pour mes passionnantes études en zoologie et en folklore traditionnel à l’université renommée de Tarant. Mon opinion a toujours été que, pendant que de nombreuses personnes vivent abrités ici, dans la protection de Tarant, un monde complètement différent vit hors de ses murs, empli de magie inspirant le respect, de beauté infinie, de danger, et souvent de mort. Et donc, comme je progressais dans mes études universitaires, j’ai commencé à rassembler tous les mythes et paraboles, histoires et légendes, chansons et anciennes rumeurs à travers lesquelles, tout comme des centaines d’autres enfants à travers de nombreux siècles, avons été bercés, assemblant une quantité impressionnante d’anciens textes sur les diverses créatures qui existent dans Arcanum. Une fois mon éducation complétée, avec quelques collègues intéressés, j’ai quitté Tarant pour explorer les endroits sauvages d’Arcanum qui valideraient la précision des histoires que nous avions seulement entendu ou vu dans des livres. Nous espérions découvrir des caractéristiques inconnues que nous pourrions trouver, et par conséquent décrire correctement aux habitant de ce monde les bêtes qui arpentent les routes.
Même si mon but principal en compilant cette anthologie était de présenter une véritable et correcte description des magnifiques créatures d’Arcanum, j’étais aussi motivé par le désir de revoir les évanescentes merveilles et terreurs de ma mémoire qui ont inspiré mon enfance. Nous avons investi des heures de recherche dans le but d’étudier les bête d’Arcanum dans leur habitat naturel, apprenant beaucoup de nos souvent périlleuses études, dont la moindre n’était pas dépendante des vicieuses créatures cauchemardesques de mon enfance. La culmination de notre travail est rassemblé avec les pages suivantes.
Soyez assurés, chers lecteurs, que les descriptions des bêtes suivantes sont aussi bien justes que précises, premiers acomptes du travail que moi ou mes estimés collègues ont complété durant les douze années passées. Durant quelques rares occasions, nous avons été très malchanceux de ne pas pouvoir localiser un animal particulier au regard, en dépit de nos nombreux livres et parchemins décrivant la créature en détail. Quand une telle chose arrivait, j’ai préféré inclure le résultat de nos recherches écrite, et de noter que nous n’avions pas été à même de trouver un spécimen vivant pour analyses, plutôt que d’oublier la bête dans ces pages.
En conclusion, je voudrais ajouter une note personnelle. Les longues années de travail qui sont parties dans la préparation de cet ouvrage seront plus que récompensées si cela révèle au lecteur les détails et précisions précises des nombreux animaux d’Arcanum et, en conséquence, le protéger durant ses voyages et, peut-être, lui donner le sens du respect et de l’observation. C’est mon désir profond d’éduquer et de vous captiver avec les beautés, les merveilles, et les horreurs qui arpentent ces contrées glorieuses dans lesquelles nous vivons.
Je voudrais faire connaître ma redevabilité au professeur Reginald T. Dennison pour le goût discriminant qu’il a apporté à la mise en forme de ce volume, et Ms.Violet Frye pour la main experte et dévouée avec laquelle elle a piloté le livre durant les étapes techniques.
Je voudrais aussi remercier Frederick Bartholomew de la Librairie privée de Tarant et son assistant Daniel Callway ; Ve’Tura pour m’avoir laissé l’accès à la librairie de Tulla ; Ferko Lydell pour m’avoir généreusement laissé prendre des information dans sa large érudition en sujets naturels ; Miss Gertrude Rothschild et Logan Durnstop de la Société Zoologique ; Ly’kahn professeur de zoologie au Zoo de Caladon ; et Edward Willoughsby et sa soif infinie de savoir.
Sir Theodore F. Maxwell III