Ter’el, Le dieux Elfe de la Sagesse
Avant l’avènement de l’existentialisme, le peuple Elfe était principalement composé de mystiques qui adoraient des dieux de la nature. Le plus puissant de ces dieux était Ter’el, dieux des Arbres, qui plus tard incarna la sagesse. Ter’el était aveugle et muet, et ne pouvait parler qu’à travers le vent dans les feuilles en automne, il versait des larmes dans les averses de printemps, et donnait son jugement tonitruant dans les tempêtes d’hiver. Les offrandes à Ter’el constituaient en les meilleurs fruits des récoltes, mais plus tard ils devinrent les petites statuettes de bois connues sous le nom de Li’tani, ou Maisons-des-Âmes. De telles idoles étaient sculptées par des shamans Elfes, et étaient censées retenir l’essence du propriétaire.
Une fois par an, Li’tani était lancée dans les autels enflammés de Ter’el et réduite en cendres. En le faisant, le peuple Elfe pensait que Ter’el les purifiait de toutes les impuretés et mesquineries. Une nouvelle Li’tani était fabriquée par le shaman Elfe, et un nouveau cycle pouvait recommencer.
Geshtianna, Déesse humaine de l’Amour
Gehstianna était une figure importante dans la païenneté humaine depuis toujours. La mythologie humaine dit que Gehstianna a été auparavant une femme mortelle qui était tellement belle qu’elle a été transformée en déesse par le soleil et la lune, qui ne pouvaient pas supporter d’être dépassés en beauté par un être tellement inférieur. Les humains croyaient que Geshtianna leur sourirait au crépuscule, quand le soleil se couchait et que la lune se levait, et que son amour et sa beauté se manifestait au printemps, entre l’hiver et les longs et chauds jours d’été. Les festivals dédiés à la déesse étaient moments de grandes célébrations, avec de la musique et à boire, et des rites de santé physique et de fertilité.
Les offrandes aux autels de Geshtianna étaient habituellement des Racines de la Passion, qui étaient aussi de forts aphrodisiaques et étaient souvent utilisés durant les festivals.